Nature apprivoisée, prédateur domestiqué ?

La nature en ville se traduit également par la présence d’animaux, familiers ou exotiques, domestiques ou apprivoisés, d’intérieur comme d’extérieur. Une faune que je photographie rarement et dont je ne partage aucun cliché généralement. Exception faite, donc, qui se prête au couvre-feu comme au confinement : le chat d’appartement !

chat domestique | regard de prédateur | photo MDstudio
cliché de janvier | photo MDstudio de chat européen | nature apprivoisée, prédateur domestiqué ?

Même sorti de son « état de nature » et entouré de béton, l’être humain aime souvent à s’entourer d’un ou plusieurs autres animaux – comme cet émérite chasseur de peluches trônant en tigre de salon, tantôt diable sur pattes ou silencieux compagnon. Qu’on ne fie pas à cette paisible apparence, ces « petits carnivores domestiques » apprécient instinctivement les proies de chair et de sang, causant par leur surpopulation quelques troubles environnants.

Janvier 2021. Cette année, comme annoncé lors du mash up 2020, je me propose de traiter la photographie en noir et blanc.


Quelques difficultés à photographier le sujet qui doucement fermait ses yeux ou me regardait tendrement…. Alors que je cherchais à capturer un instant de lueur plus brute, plus sauvage justement. Il m’a fallu détourner volontairement son attention et appuyer sur le bouton promptement ! Je mesure d’autant plus les contraintes des photographes de sujets animés, sportifs notamment.