Entre deux averses fraîchement distillées, l’ombrelle de Cornouiller s’épanouit sur les rives, baignées des premières journées, de l’automne qui arrive :
![Corymbe de Cornouiller sanguin ou Cornus sanguinea | photo MDstudio](https://mdstudio.fr/wp-content/uploads/2020/09/mdstudio-oneshot-loire-et-cornouiller-01.png)
Vraisemblablement un cornouiller sanguin. Probablement en raison de son écorce rosée… Ou de ses feuilles rougissantes. Mais je ne suis pas experte – ni ne prétend l’être – d’autant qu’existeraient 30 à 50 espèces dans cette famille :
![Feuilles, drupes et corymbe de Cornouiller sanguin | photo MDstudio](https://mdstudio.fr/wp-content/uploads/2020/09/mdstudio-oneshot-loire-et-cornouiller-04.png)
Les baies ou « drupes » du Cornouiller seraient toxiques si ingérées en grande quantité. Ici ses sombres fruits arrondis s’élancent dans un camaïeu qui bruisse, entre les tiges de magenta et de vermillon nuancées, de feuilles chamarrées qui jaunissent ou encore verdissent :
![Drupes et corymbe de Cornouiller sanguin sous la pluie | photo MDstudio](https://mdstudio.fr/wp-content/uploads/2020/09/mdstudio-oneshot-loire-et-cornouiller-08.png)
En y réfléchissant, j’avais certainement déjà photographié cet arbuste en 2017, à un stade plus avancé, dans Sentir l’automne sourdre. La surprise, la beauté, comme la nouveauté se trouvent au pas de la porte pour peu que l’on veuille bien y regarder de plus près !
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