Où l’on retrouve le précédent pensionnaire avec trois autres compagnons :
L’eau semble de départir de toute couleur et empreinte des teintes de vert, de bleu et d’ocre à son environnement immédiat. Seules les stries formées par les perturbations en surface et le flou des roches en dessous nous indique qu’il y a de l’eau.
Par ce temps, le lac paraît bien opaque et on peine à déterminer sa profondeur. Mais on est vide absorbé par la contemplation des ondes concentriques, ces gouttes de pluie qui créent, continuellement, imperturbablement, ces cercles épars, calmes et aléatoires. Un tableau en perpétuel mouvement !