Tout en niveau de gris, un petit chat endormi :

ONE SHOT ANECDOTE
Photographie régulièrement accompagnée d’un petit texte de circonstance, tiré du sujet, du lieu, de l’intention.
Mes oneshots sont des prises de vue solitaires, n’appartenant pas à une série complète, bien que donnant parfois une idée de série à approfondir. Ces photographies sont aussi bien des mémos d’ambiance, de repérage, de situations, que des sources d’inspiration pour le dessin. Et bien souvent, il s’agit de la « photographie du mois » !
Tout en niveau de gris, un petit chat endormi :
Lens probablement provoqué par le reflet dans l’objectif et… Une belle surprise à l’arrivée – ciel d’un nouvel astre paré :
C’est certainement le reflet du soleil dans la lentille qui a rajouté ce point brillant en hauteur. J’aime particulière le dôme rosâtre, acidulé, presque éthéré, qui évoque une planète dans la continuité du rayon. Tandis que le morcellement des reflets sur l’eau lui font écho. Quand le fleuve se marie au crépuscule, la magie opère pour le photographe incrédule.
Photographie du 6 octobre dernier, par un matin ensoleillé. Golden hour du matin donc, vers 8h00 sur le chemin de la gare :
Étonnant comme la surface du canal renforce les teintes environnantes : ses reflets avivent le bleu du ciel et intensifient l’incandescence des nuages. Plus qu’un miroir, le court d’eau catalyse l’ensemble et assoit l’image.
… Dans ce vert qui doucement brunit, ou dans cette écorce qui vivement rougit :
Vue matinale sur la Cité des Congrès, doucement éclairée en début de journée. Sur le canal, ses courbes sont soulignées par quelques bateaux paisiblement amarrés.
Photographie réalisée sans trucage : Lire la suite « Parcours de nuages, détour en virage »
Presque invisible, ce film humide sur la chaussée goudronnée. L’eau de pluie amène une luminosité particulière même par temps gris ! Lire la suite « Chevrons de station, au raz du bitume »
Végétation en bordure de Loire et question… Ce que j’ai longtemps pris pour de la carotte sauvage était en fait de la ciguë !
Toujours qu’il est vraiment agréable de vivre dans une ville verte, où justement, le passant peut s’interroger sur ce qui caresse ses souliers !
Filtrer la lumière à travers du verre… Une vision déformée de la réalité !
Quelques essais sur le post précédent, muguet de mai en noir et blanc.
On aurait pu croire que passer le vert en noir allait affadir le plan et ternir la fleur ; bien au contraire, le blanc des pétales n’en ressort que mieux sur les feuilles foncées. La fraîcheur des corolles se trouve sertie d’un sombre écrin. Et un simple vert en guise de vase prend un intérêt soudain !