Voisine du Chelidonium précédent, une autre plante d’un jaune tout aussi verdoyant :

Pissenlit photographié le long d’un muret, en bordure d’une rue passante, dans un quartier de Nantes. Et au ras du trottoir, en attendant le bus, pour changer.
Je suis illustratrice. Je vois la photographie comme un moment de plaisir, un temps d’exercice et une source d’inspiration – voire carrément un outil de travail.
Voisine du Chelidonium précédent, une autre plante d’un jaune tout aussi verdoyant :
Pissenlit photographié le long d’un muret, en bordure d’une rue passante, dans un quartier de Nantes. Et au ras du trottoir, en attendant le bus, pour changer.
Cliché en noir et blanc, pour une photo entre passé et présent, une tradition renouvelée que le brin de muguet au 1er mai !
Bonne fête du travail à tous.
*Quant à la rime au « travail », j’ai choisi le mot « sérail » dans le sens d’approvisionnement aux visiteurs et aux bêtes de somme, comme une rétribution aux travailleurs. Et ce, même si ladite fête du travail n’a rien de commun avec l’Orient.
Plutôt qu’un brin de muguet en jour de fête… Voici une blonde corolle au lieu d’une blanche clochette !
Chelidonium Majus – à confirmer – photographié le long d’un muret, en bordure d’une rue passante, dans un quartier de Nantes. Et au ras du trottoir, en attendant le bus, pour changer.
Une fleur de jardin, un massif issu d’un parc ? Le Mahonia à feuilles de houx même en terres sèches s’adapte !
Ici, photographie d’une hampe florale, qui borde le bitume de la chaussée – et qui bientôt délivrera une senteur estivale parmi les effluves carbonées :
Il m’a suffi de marcher un arrêt de bus pour tomber sur cet arbuste le long d’un muret :
Voilà qui enjolive tant l’air que la vue, en attendant du bus la venue : )
Bien qu’il semble souffrir et faner déjà, ce petit Mahonia.
L’hiver doucement se termine tandis qu’impatiemment le printemps s’achemine.
Ici, une photographie depuis les jardins du musée quai Branly dit « Jacques Chirac » ou « musée des arts premiers » :
Une fontaine qui ne vous laisse point de glace… Ou peut-être que si ! Fontaine gelée en place Royale de Nantes, début mars :
… Où l’un des affluents de la Loire, d’eau tant liquide que gelée, se pare.
Le froid capture un magique instant où l’eau qui s’écoulait joyeusement se fige en stalactites et en congères, enveloppant la pierre d’un opaque courant étincelant.
Voir la vie en couleur, même par mauvais temps !
Expérimentations élaborée à partir des clichés photographiques précédents – et inspirée du graff lui-même :
Un cliché d’une rambarde signée :
Arrière-plan : photographie en pointillé du skatepark du quai Doumergue à Nantes
La berge à demi disparue, comme tenue en tenaille, sous l’eau et la grisaille, dessine une transition ténue ;
Çà et là pourtant, des tiges s’y rebellent, brisant le miroir du ciel, entre le bitume et le courant.
Arrière-plan : photographie du skatepark du quai Doumergue à Nantes